FAUT-IL EQUILIBRER LA VIE PROFESSIONELLE ET PERSONELLE?

Dans son ouvrage, ‘L’Avenir d’une Illusion’, Sigmund Freud conçoit : il existe toujours deux “moi” en une seule personne, le “moi privée” et le “moi publique”, et soit conscieusement ou soit à peine conscient, le moi privée est toujours là, caché et prêt à embusquer votre “moi publique”.

Tout le monde affronte la difficulté de compartimenter la vie professionelle et la vie personelle. Il faut qu’on reconnaisse les causes de cette inclination et ses consequences. Et enfin trouver une juste disposition entre ces deux besoins antithétiques.

Tout d’abord, un être humain a besoin de la solidarité et il la trouve en partageant avec les autres, ses propres pensées, ses inquietudes, ses preoccupations, etc. Mais, le bureau est un espace de travail et il faut absolumment éviter discuter vos dilemmes personnels avec vos collègues et également il ne faut pas s’immiscer dans leurs vies privés. Mais si vous avez déjà confiance en quelqu’un, il faut qu’on se parle au dehors du bureau, sinon vous faites l’effet de gâcher le temps, être éloigné des autres ou vous risque même un licenciement!

D’autre part, on trouve des gens piégés par la routine. Ils travaillent dûr, s’inquiètent pour satisfaire quelqu’un ou soi-même. Et par consequence cette conduite menace à leur santé physique et mentale. Robert Jones a bien dit "Il y a deux jours pendant la semaine où je n’inquiète pas: Hier et Demain". Le soucis n’est qu’un abus de votre imagination et créativité. Donc il faut qu’on attaque sur place chaque lutte qui nous arrive. Comme ça on ne porte pas les preoccupations du bureau chez soi et vice-versa.

De plus, quand on travaille il faut surtout une maturité émotionelle. Souvent on a si peur d’être critiquer par quelqu’un , on reste toujours sur la défensive ou on supporte mal les critques. Souvent ces critiques sont plus professionelle que personelle. Donc, c’est oblige d’avoir une confiance en soi et savoir comment maîtriser les sentiments.

En conclusion, comme nous sommes tous humains, il est difficile de nier notre originalité. C’est malcommode d’être quelqu’un chez soi et encore un autre individu au bureau. A mon avis, c’est toujours mieux de s’attacher à son profession et moins à l’entreprise où on travaille!

9 comments:

MEENAKSHI MANI said...

Certes, tu as bien trouvé la problématique et tu as essayé de faire ton mieux. Mais, L’article doit être bref et précis. Tu y vas par quatre chemins. D’un côté, les explications sont un peu confondues. De l’autre côté, il y a trop de mots et des exemples. La conclusion n’est pas claire et contradictoire. Enfin, cela serait mieux d’avoir une ouverture à la fin.

Thapas Joseph said...

Salut,

Ton texte est très bien organisé, mais tu n'as pas suivi de plan ou de format.

Ta problématique est perdu au mileu du texte. Je pense que tu puisses l'enlèver et la définir.

Je pense que tu ais dépassé la limite du nombre des mots.

Mais en somme, c'est génial!

Amu said...

A mon avis, t'as bien organisé le texte, en mettant d'abord les "pours" et après les "contres" qui se terminent par une conclusion assez équilibré. Par contre, j'ai du mal à trouver le problématique!

J'aime bien ta référence à Freud, qui est tout à fait apte dans ce contexte.

Pourtant, je trouve la phrase "En conclusion, comme nous sommes tous humains, il est difficile de nier notre originalité. " un peu vague en sens. Il reste aussi de petites fautes d'orthographe et de grammaire (d'être critiqué, pas d'être critiquer, et Cie) mais rien de trop grave à ma vue!

Bharati Mishra said...

Selon moi, ton texte commence bien en suivante les étapes requise comme L'utilisation des connecteurs, thèse et antithèse. Pourtant, je pense que les deux derniers paragraphes n'apportent pas la justification.

pradsat said...

Ton article est riche, le langage plaît au lecteur et tu as parsemé le récit avec les citations propre au contexte. J'admire vivement ta connaissance de la littérature et ta capacité d'utiliser cette connaissance dans le contexte. Même si le texte est excellent en qualité, il ne suit pas rigoureusement le plan rigide exigé par l'examen. Il te faudra t'efforcer à cet objectif.

Dhvani said...

Quel dommage que l’examen de C1 nous exige de suivre un plan très exacte ! C’était un plaisir de lire ton texte, même s’il ne suit pas le format. Et je ne suis pas en accord avec les autres commentaires – je pense que ta problématique est définie- « comment trouver la juste disposition entre les deux besoins antithétiques ? » Mais je pense aussi que le quatrième paragraphe n’est pas vraiment nécessaire

Dhvani said...

Quel dommage que l’examen de C1 nous exige de suivre un plan très exacte ! C’était un plaisir de lire ton texte, même s’il ne suit pas le format. Et je ne suis pas en accord avec les autres commentaires – je pense que ta problématique est définie- « comment trouver la juste disposition entre les deux besoins antithétiques ? » Mais je pense aussi que le quatrième paragraphe n’est pas vraiment nécessaire

Pelak Desai said...

J'aime ton article parce que le langage est vraiment très riche.De plus, j'aime ton introduction: le référence à Sigmund Freud. Mais, à la fin, je pense que le conclusion est un peu vague en relation à ton article. Malgré, tu ne suivi pas le plan, c'est bien écrit,comme une étudiant de littérature.

Isa Salazar said...

Bonjour, je viens de jeter un oeil ton blog, c'est bien. Je dois te dire que malgre les commentaires, je trouve ton texte bien. Peut-être parce que je ne suis pas française:)

Je m'appelle Mireya, je suis mexicaine et j'étude la langue française parce que je l'aime. Il est possible que mon orthographe soit mauvaise, mais j'espére un jour écrire mieux.

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