“Si une femme est mal habillée, on remarque sa robe, mais si elle est impéccablement vêtue, c’est elle que l’on remarque”. Ces mots du Roi Soleil, Louis XIV, très connu pour son style extravagant, montrent jusqu’à quel point la mode est essentielle pour révéler un être-humain. Mais la mode est-elle une révélation de soi-même ou est-ce qu’on en est victime?
D’une part, on a un besoin d’appartenir à une société. On est obligé de feuilleter les magazines, gaspiller l’argent dans les boutiques de haute couture et de s’habiller comme nos portes paroles de la mode. Grâce à cette attitude, le monstre de marketing grandit autour de nous. D’autre part, on trouve que la mode est une expression de soi. Il y a des gens qui choisissent soigneusement leurs vêtements chaque jour parce que ce que l’on porte révèle notre état d’âme, notre tempérament ou même notre attitude vers le corps.
A mon avis, s’habiller est un plaisir mais il est souvent influencé des forces extérieures. Pendant les années 60s, les femmes ont commencé à porter des mini jupes, fumer et se faire couper les cheveux très courts. Mais ce comportement a été influencé par le movement féministe. A mon avis c’est rare qu’on trouve une expression de soi vis-à-vis la mode qui n’était pas enlevé d’une revue ou des émissions à propos des stars sur la télé!
C’est à chaque individu de décider si la mode est une bénédiction or malédiction! Est-ce que c’est possible de garder l’individualité et de s’accorder à une société stupéfiée par la mode? Finalement, l’élégance est un vêtement qui renforce la personnalité de celui qui le porte; la mode doit se mettre au service de la personne et non l’inverse.
Il existe plusieurs affirmations et divers interrogations à propos des OGM. L’exploitation de biologie cellulaire vise à perfectionner les compétences de la culture des plantes. Mais cette nouvelle technologie peut-elle améliorer notre industrie agroalimentaire en restant fidèle à notre code éthique?
Nous sommes les temoins d’une revolution génétique. D’un côté ces nouvelles variétés végétales nous promettent une meilleure qualité des aliments. A l’autre côté, on insiste lourdement les risques de la modification génétique des plantes.
A mon avis, il faut engager les OGM dans notre monde alimentaire. D’abord, les methods conventionelles de croisements et du culture des plantes coûtent chers, sont lents, ont besoin de travil intensif et souvent les résultats sont imprévisibles. Produire les OGM coûtent cher au début, mais au fur et à mésure, on dépense moins. Ces plantes transgéniques rendrent possible une amélioration dans la culture, sur le plan qualitatif et quantitatif.
En plus, les OGM nous assure d’une meilleure qualité nutritionelle. Un article paru en National Geographic (numéro avril 2008), nous fait voir comment le vitamin A inséré dans le riz empêche l’aveuglement chez 10 millions enfants en Afrique. Cette technologie assure une sécurité alimentaire dans les pays en développement et l’augmentation des revenus des agriculteurs partout.
En conclusion, même si les OGM sont un atout pour les consommateurs, il faut qu’il n’existe pas une risqué toxicologique pour notre santé et notre environnement. Des recherches rigoreuses sont necessaries et il faut surtout une réglémentation pour donner le droit aux consommateurs d’être informés sur la composition de leurs aliments. Le énigme principal hormis qu'il n'y a pas de limites dans le domaine de la modification génétique et que l'on ne connaît pas les conséquences à la long terme. Est-ce l’on est prêt à tout simplement donner aux multinationales le pouvoir de décider ce que l’on aura dans son assiette sans se soucier si se sera bon ou pas pour soi-même ?
Le Catholicisme est une pédagogie. L’Eglise invite les éducateurs à façonner l’enfant parfait afin de “répondre à la mission confiée par Dieu”. Dans son ouvrage, 'L’Art de commander aux enfants', l’Abbé Henri Morice condamne l’éducation “dans le cotton”, qui ne prepare pas les enfants à affronter les difficultés de la vie et il s’emploie à présenter la souffrance comme un mal nécessaire à la formation du futur adulte. Est-ce que c’est nécessaire de soumettre les enfants à la bastonnade ou existe-t-il des autres methods moins cruelles pour éduquer les enfants?
L’éducation par les coups rique de former des jeunes et des adultes sans pitié, capables de faire souffrir les autres (sourd à la souffrance d’autrui). A l’autre côté, le rejet de toute forme de chatîment corporel selon les textes spirituels et historiques, n’est jamais pose comme une méthode tangible dans le domaine d’étude.
Personellement, je suis forte contre la violence comme une méthode d’éducation. D’abord, quand on frappe un enfant, on détruise chez lui toute estime de soi ou bien, comme l’imitation est un comportement inné chez les enfants, “en frappant on apprend l’enfant à frapper”. Quand les parents infligent des chatîments corporels sur ces êtres petits et faibles, plus tard, ces jeunes comportent de la même façon avec leurs propres enfants.
La violence est une pédagogie inutile et je suis pour la discipline positive. Au lieu de frapper votre enfant, il faut essayer de comprendre son comportement! Mais je me demande comment des parents simples et nias, qui n’ont jamais reçu la formation dans ce domaine, auraient-ils la capacité de comprendre leurs enfants?
SOURCES:
1] Henri MORICE, L'Art de commander aux enfants, Maison Aubanel, Avignon, 3e édition, 1923.
2] Faut-il frapper les enfants pour bien les élever? 25/04/2003
Cet article est le premier d'une série de trois, écrit par Olivier Maurel, auteur de "La Fessée, Cent questions-réponses sur les châtiments corporels" aux Editions La Plage
Par Olivier Maurel http://www.grioo.com/info251.html
Dans son ouvrage, ‘L’Avenir d’une Illusion’, Sigmund Freud conçoit : il existe toujours deux “moi” en une seule personne, le “moi privée” et le “moi publique”, et soit conscieusement ou soit à peine conscient, le moi privée est toujours là, caché et prêt à embusquer votre “moi publique”.
Tout le monde affronte la difficulté de compartimenter la vie professionelle et la vie personelle. Il faut qu’on reconnaisse les causes de cette inclination et ses consequences. Et enfin trouver une juste disposition entre ces deux besoins antithétiques.
Tout d’abord, un être humain a besoin de la solidarité et il la trouve en partageant avec les autres, ses propres pensées, ses inquietudes, ses preoccupations, etc. Mais, le bureau est un espace de travail et il faut absolumment éviter discuter vos dilemmes personnels avec vos collègues et également il ne faut pas s’immiscer dans leurs vies privés. Mais si vous avez déjà confiance en quelqu’un, il faut qu’on se parle au dehors du bureau, sinon vous faites l’effet de gâcher le temps, être éloigné des autres ou vous risque même un licenciement!
D’autre part, on trouve des gens piégés par la routine. Ils travaillent dûr, s’inquiètent pour satisfaire quelqu’un ou soi-même. Et par consequence cette conduite menace à leur santé physique et mentale. Robert Jones a bien dit "Il y a deux jours pendant la semaine où je n’inquiète pas: Hier et Demain".
De plus, quand on travaille il faut surtout une maturité émotionelle. Souvent on a si peur d’être critiquer par quelqu’un , on reste toujours sur la défensive ou on supporte mal les critques. Souvent ces critiques sont plus professionelle que personelle. Donc, c’est oblige d’avoir une confiance en soi et savoir comment maîtriser les sentiments.
En conclusion, comme nous sommes tous humains, il est difficile de nier notre originalité. C’est malcommode d’être quelqu’un chez soi et encore un autre individu au bureau. A mon avis, c’est toujours mieux de s’attacher à son profession et moins à l’entreprise où on travaille!
COMME EN FRANCE, IL FAUT SUPPRIMER LES PUBLICITÉ SUR LES CHAÎNES PUBLIQUES EN INDE
Je vais vous parler à propos de la publicité et pourquoi il ne faut pas les interdire sur les chaînes publiques en Inde. La publicité n’est que le reflet des comportements et des valeurs d’une culture donnée et elle a deux objectifs essentiels: informer et persuader.
Il faut qu’on parle d’importance quantitative et qualitative des publicités. Du côté quantitative, on sait que la publicité est une grande source de revenue et très souvent les chaînes et des productions televisées dependent des revenues publicitaires.
Une large audience est le cible des agents publicitaires, et l’interdiction des publicités résultera dans une perte d’un grand nombre des consommateurs en outre une perte des resources humaines et matérielles qui sont consacrées à la publicité.
La television est un moyen certe de mettre une grande audience à la disposition des publicitaires (Primetime en particulier). A ce temps-là la publicité realise son premier objectif, d’informer l’audience de nouveaux produits ou de nouveaux services et également des ameliorations disponibles sur le marché. Donc on affirme que la publicité est un aspect intégrale de la société de consommation.
On va aborder le côté qualitative des publicités. La publicité est devenue une force puissante de persuasion qui façonne les attitudes et les comportment du monde aujourd’hui. Par exemple, souvent une marque fait appel aux personnalités pour la représenter dans ses publicités. On n’est pas sur à quel point ces stars peuvent influencer le publique mais, peut-être au niveau sub conscient, le public peut se rapporter à ces personnalités figurer dans les pubs, parcequ’ils ont peut-être le même âge de la cible, ou sont du même sexe ou d’une minorité éthnique. On voit ces publicités comme révélatrice du public ciblé. Donc on peut déduire, soit dirèctement, soit indirèctement, les pubs influencent en profondeur nos motivations, nos critères de choix et même notre proper existence.
Il y a des gens qui militent contre les publicités. A mon avis, il faut intérdire seulement les pubs qui manipulent et exploitent son audience. Et il faut que touts les agents publicitaires sont soumises à une déontologie!
Enfin, je vais conclure avec une idée sécondaire et assez poétique. Biensûr la publicité n’est pas un art, mais la créativité en est le Coeur. Les publicités sont peut-être des idées, des pensées, des obsessions, des manies, des fixations de quelqu’un, qui sont reinterprété sur l’écran. Et dans un pays comme Inde, si on intérdit des publicités, malheureusement on refrène une des meilleures sources de l’expression créative..